des forces nationales libyennes a déclaré à Hafariyat que les principales raisons pour lesquelles les élections n’ont pas été organisées à temps sont deux aspects principaux ; Le premier : le chaos sécuritaire ; A la suite de la présence de plus de 20 000 mercenaires et combattants étrangers, qui contrôlent 10 bases militaires et de nombreux camps, en plus de la diffusion de plus de vingt-neuf millions d’armes. La seconde : l’incapacité à parvenir à un consensus entre les parties au conflit sur la base constitutionnelle et les lois électorales, ainsi que la volonté de tous les dirigeants politiques de rester au pouvoir ; Il utilise la fenêtre d’incompatibilité comme un moyen et un couloir pour perturber la tenue des élections ; Pour rester et continuer au pouvoir.
Et le représentant de l’Initiative des forces nationales libyennes de poursuivre, dans le cadre de son entretien avec « Hagrayat », soulignant que le chef de la Haute Commission électorale, Imad al-Sayeh, a choisi de se ranger du côté de l’une des parties au conflit, représenté à la Chambre des représentants, et cela était évident lors de la dernière audience devant la Chambre; Lorsqu’il a mentionné qu’il était surpris par la loi électorale actuelle, contrairement à ce qui avait été convenu auparavant, ainsi que par sa tentative d’impliquer le pouvoir judiciaire dans le processus politique.
Le représentant officiel de l’Initiative des forces nationales libyennes a déclaré que le touriste nie toujours l’existence de faux numéros nationaux dans la liste électorale, qui ont été prouvés par les rapports des services de renseignement et du ministère de l’Intérieur, et ont été récités lors de la session secrète. de la Chambre des représentants.
Muhammad Shubar conclut ses déclarations en soulignant que l’étape pour la sortie des forces étrangères et la collecte des armes est une étape essentielle pour la tenue des élections, et y parvenir nécessite un gouvernement fort ; Elle œuvre à l’amélioration des conditions de vie et de service, et à la création des conditions propices à la tenue d’élections libres et équitables, sans aucune ingérence étrangère.
