Des jeunes manipulés troublent l’ordre public

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L’opposant Ousmane Sonko a perdu
sa bataille judiciaire contre l’ex-masseuse Adji Sarr qui avait porté plainte
contre lui pour « viols et menaces de mort ».
Le juge a, certes écarté, le viol et les menaces
de mort ; mais a reconnu Sonko coupable
de « corruption de la jeunesse ».
« La corruption de la jeunesse », article 324
du Code pénal du Sénégal, est une infraction
pénale, ainsi identifiée : attentat aux mœurs,
en exécutant, favorisant ou facilitant la débauche ou la corruption de la jeunesse, de
l’un ou l’autre sexe au dessous de l’âge de 21
ans, ou même occasionnellement des mineurs de 16 ans.
« La peine prévue est de 2 à 5 ans et d’une
amende de 300.000FCFA à 4 millions de
FCFA».
Il faut noter que Adji Sarr est née le 3 mars
2000.Les faits présumés de viol auraient eu
lieu entre décembre 2020 et février 2021, avec
la précision que le 2 février 2021 constituerait
le dernier jour des faits de viols présumés.
Donc, au moment des faits Adji Sarr ne pouvait pas avoir 21 ans révolus. Elle avait, moins
de 21 ans, et entre bien dans le champ de
l’article 324 du Code pénal.
C’est pour quoi le juge a reconnu coupable
et a condamné Ousmane Sonko de « corruption de la jeunesse », à 2 ans de prison ferme
et une amende cumulée de 21 200 000 FCFA,
à payer à Adji Sarr, conjointement avec la patronne du salon « Sweet Beauté »,reconnue,
elle coupable d’incitation à la débauche et
condamnée à 2 ans de prison ferme. Comme
Sonko !
Ce verdict n’est pas moins infamant que celui
qui aurait sanctionné une condamnation
pour viol.
Sans doute, serait-elle plus corsée, mais non
moins déshonorant.
Sonko qui est, presque plus, âgé de 30 ans
qu’à Adji Sarr (48 ans pour Sonko ) devrait
avoir la honte de sa vie avec ce jugement qui
détruit le mythe du « musulman IBADU (pur)
» qu’il avait bâti.
Non, c’est bien un homme à la libido détraquée qui a été jugé et reconnu coupable de
pratiques attentatoires aux bonnes mœurs.
Des actes qui riment avec « corruption de la
jeunesse », Sonko pouvant être le père de sa
victime, Adji Sarr.
Ceux qui jubilent, en mettant en exergue «
l’acquittement pour les accusations de viols
et menaces de mort », se font violence pour
oublier les délits pénaux pour lesquels Sonko
est condamné, certes avec une peine plancher de 2 ans d’emprisonnement ferme. Mais
aussi plus de 10 millions de FCFA à payer à
Adji Sarr, un montant beaucoup plus élevé
que celui de 4 millions indiqué par le Code
pénal.
La gérante de Sweet Beauté devant aussi
donner la même somme de 10 millions 100
000FCFA, exactement, en sus des 2 ans de
prison ferme.
La main du juge est lourde et cette SÉNÉRITÉ
S’EXPLIQUE par la gravité des faits commis,
avec association de malfaiteurs (un couple
maffieux formé par un homme assoiffé de
sexe et une femme vendeuse de chair tendre.)
Les souteneurs de Sonko qui pavoisent sont
des ignorants, comme du reste, la majorité
de ceux qui le suivent, des jeunes de moins
de 20 ans, « lavés » du cerveau, incapables
de réflexion critique. Il faut ajouter que si le
viol n’a pas été retenu, c’est aussi parce que
Adji Sarr, fille peu éduquée, s’est souvent
laissée aller à faire des déclarations contradictoires.
Même si, elle a toujours maintenu les accusations de viols et de menaces de mort et a
apporté la preuve irréfutable du « sperme »
qui aurait tranché le débat, par un test ADN
que Sonko a refusé. POURQUOI ?
Le docteur gynécologue Alfousseynou Gaye
a affirmé à la barre du tribunal, avoir trouvé
du sperme dans l’intimité de la plaignante.
C’est Gaye qui a pris Adji Sarr au salon ce 2
février 2021 et l’a emmenée à l’hôpital, pour
y faire les examens et prélèvements.
Donc Adji Sarr avait bel et bien une « preuve
irréfutable ».
Non pas d’un viol, mais d’un coit.
Les acquittements dans les « cas de viol »
sont aussi surprenants que nombreux : Sitor
Ndour est un exemple récent, au Sénégal.
En Suisse, Tariq Ramadan a, finalement été
acquitté, lui aussi.
Même si un procès en appel aura lieu et un
autre en France.
Donald Trump a écopé d’une amende record
de 5 millions de dollars pour… AGRESSIONS
SEXUELLES. Non de viol !
Dès qu’il y doute, cela profite à l’accusé. C’est
la loi.

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