Qualifier le Pastef d’organisation terroriste, le dissoudreet criminaliser les actes de destruction des biens publics,privés nationaux ou étrangers

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Le Sénégal est attaqué par des ennemis
de l’intérieur et de l’extérieur. Ce qui
se passe dans notre pays est une insurrection terroriste organiser par Ousmane
Sonko et le Pastef.
Les violences perpétrées au Sénégal ne sont
pas des manifestations de soutien à une
cause ou des réactions de mécontentement
politique ou social. Il s’agit d’une insurrection
terroriste perpétrée par des hordes d’insurgés
qui ciblent les points névralgiques pour paralyser le pays : infrastructures, transports,
eau, électricité, aéroports, banques. C’est du
terrorisme insurrectionnel.
Face à ces actes terroristes et insurrectionnels
d’Ousmane Sonko, la réponse de la République doit être implacable. Il s’agit de qualifer
le Pastef d’organisation terroriste, procéder
à sa dissolution et l’arrestation de tous ces
responsables.
L’autorisation doit être aussi donnée aux vaillantes forces de défense et de sécurité de
traiter comme terroristes tous ceux qui s’attaquent à des biens publics, privés nationaux
ou étrangers. Le Président de la République
doit engager la procédure parlementaire pour
criminaliser, sans délai, avec effets rétroactifs
pour punir les auteurs et commanditaires
des actes de destruction des biens publics
comme privés nationaux et étrangers.
L’Etat doit déclarer le parti Pastef organisation
terroriste et procéder à sa dissolution de
même que ses satellites comme Frapp-France
dégage et à l’arrestation de tous ces responsables y compris les députés. Les collectivités
territoriales qui sont dirigées par Pastef doivent être dissoutes et confiées à des délégations spéciales. Les relais locaux, médiatiques
ou non de la vermine terroriste et insurrectionnelle de Pastef, doivent être mis hors état
de nuire. Une purge des membres de Pastef
doit être opérée dans l’administration, appareils et structures de l’Etat.
Le Président de la République doit proposer
aux participants du dialogue une déclaration
condamnant les actes terroristes et insurrectionnels de Ousmane Sonko.
Le Président de la République doit aussi instruire son gouvernement de rencontrer la Représentation nationale, le corps diplomatique, les communautés religieuses, partis
politiques, centrales syndicales et organisations patronales pour leur expliquer et faire
le bilan des actes et manœuvres terroristes
perpétrés par Ousmane Sonko et ses acolytes
pour déstabiliser le Sénégal.
Les opérateurs économiques qui financent
les activités subversives de Pastef doivent recherchés, arrêtés et leurs entreprises fermées.
Pour l’amour du Sénégal,
Vive la République !
Vive le Sénégal !

BOUBACAR BORIS DIOP
« Ousmane Sonko n’est pas prêt pour diriger un pays »

Le Sénégal se relève peu à peu des récentes
manifestations qui l’ont secoué. Cette situation est liée à la condamnation d’Ousmane Sonko à 2 ans de prison ferme pour corruption de la jeunesse. Pour de nombreuses
personnes, ce verdict semble davantage être un
moyen de l’écarter de la course à la présidentielle
de février 2024. Cet argument est soutenu par
Boubacar Boris dans sa contribution co-écrite
avec Mohamed Mbougar Sarr et Felwine Sarr.
Cependant, selon le premier cité, le maire de
Ziguinchor n’a pas encore les épaules assez solides pour être à la tête de l’État sénégalais. « Le
risque pour lui est de penser qu’il est populaire
et que cela suffit. Malgré toutes ses vertus, je
pense qu’il n’est pas prêt à diriger un pays », affirme-t-il. Il poursuit : « L’accusation de viol était
une infamie. Toutes les manœuvres pour l’empêcher de se présenter aux élections ont été
odieuses. Le problème est que Macky Sall et son
entourage sont tellement passionnés qu’ils en
ont fait une victime, un martyr, et personne n’a
pu sérieusement l’interroger sur son programme
de gouvernement ».
Selon lui, cette affaire de viol a rendu le débat
politique impossible et a fait de Sonko le politicien
le plus populaire de l’histoire du Sénégal. « Cela
ne signifie pas pour autant qu’il soit le plus compétent », précise-t-il. Avant de conclure : « Il est
innocent, il devrait pouvoir se présenter. Je crois
en son intégrité personnelle, mais il n’a pas encore
les compétences pour diriger ce pays ».

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