Le président mauritanien n’y va pas par quatre chemins :les chiffres avancés dans le reportage de la BBC sont « faux, archi-faux ».
La société BP(british petroleum) ne peut pas faire un deal de 10 milliards avec Timis Corporation ,alors qu’elle même « ne va pas gagner autant d’argent dans l’exploitation du gisement gazier la grande Tortue ».
« C’est du n’importe quoi .les montants sont faux. BP n’aura même 10 milliards de dollars ,en exploitant, alors comment peut-elle donner un tel montant en royalties à Timis ?
C’est faux, archi-faux.
Les sénégalais doivent savoir la vérité car la vérité est que tout cela est de la politique parce que le président Macky Sall a gagné ,de manière transparente, l’élection présidentielle du 24 février ..c’est franchement n’importe quoi. »
On le voit ,le président mauritanien a tenu à mettre les points sur les « i » pour que nul n’en ignore.
Les opposants sénégalais sont, non seulement de mauvais perdants, mais des affabulateurs qui ne reculent devant aucun mensonge pour essayer de tromper les populations.
C’’est indigne d’hommes et de femmes qui sollicitent la confiance de leurs concitoyens et qui cherchent à les induire en erreur, quitte à plonger le pays dans le déni de réalité.
La prise de parole de Ould Aziz est la bienvenue pour apporter un témoignage extérieur rare et précieux qui dessille les yeux de tous ceux qui seraient perturbés par les mensonges à répétition des opposants recalés du parrainage et défaits pendant la présidentielle du 24 février.
La cohorte des Abdoul Mbaye, Thierno Alassane Sall(à qui Farba Ngom a mis une raclée morale),Ousmane Sonko et autres frustrés est, une nouvelle fois sonnée et discréditée.
Quand est-ce qu’ils vont ,enfin ,comprendre que Macky Sall ne boxe pas dans la même catégorie qu’eux ?
Il est l’élu du peuple, chef de l’Etat ,gardien de la Constitution, président du Conseil supérieur de la magistrature, chef suprême des forces armées et protecteur des arts et des lettres, bref l’autorité placée sur un piédestal par le choix souverain des citoyens de la République.
Cette réalité empêche certains de dormir, mais elle n’en demeure pas moins incontournable et indubitable.
Le 24 février le peuple sénégalais lui a renouvelé sa confiance, par un vote massif incontestable et incontesté, dès le premier tour.
Cette joute électorale, comme celle historique du 25 mars 2012,est désormais une référence ,dans les annales de la riche expérience démocratique sénégalaise.
Les rodomontades des opposants désarçonnés par le rejet populaire seront oubliés par les historiens qui retiendront le caractère transparent des scrutins, la paix sociale et la grande maturité des citoyens qui se sont exprimés librement .
Aujourd’hui, l’heure est au dialogue national pour trouver les voies et moyens pour parfaire l’œuvre politique pour renforcer l’expérience démocratique sénégalaise.
L’imperfection est consubstantielle à toute action humaine et cela pousse à l’organisation d’un dialogue permanent.
Macky Sall l’a bien compris et a toujours appelé au dialogue.