La Côte d’Ivoire sous Alassane Dramane Ouattara (ADO) a engagé une nouvelle étape dans la longue marche du peuple ivoirien vers son destin de bien-être, de paix, de stabilité et de liberté. En rompant avec les démons du passé et en optant de manière irréversible de se tourner résolument vers l’avenir commun, il entreprit la mise en place progressive d’un nouvel équilibre entre les pouvoirs institutionnels Exécutif, Législatif et Judiciaire pour en faire des institutions fortes et crédibles. Il a en outre su hisser très haut l’étendard de l’émergence socioéconomique de la Côte d’Ivoire dans la cohésion et l’inclusion sociale.
Pour le Président Alassane Ouattara, l’équilibre des pouvoirs n’est pas seulement une condition pour la vitalité d’une démocratie, elle protège la République des dérives, des coups de force et de l’instabilité et confère aux institutions leur capacité à consolider le socle de l’Etat de droit et à garantir sa pérennité. Cette grande ambition démocratique pour l’avenir qu’il s’est fixé a pour finalité la revitalisation et la sécurisation des institutions ainsi que la stabilité politique et sociale, pour un cadre propice à l’émergence, au développement et au bien-être des populations ivoiriennes. Aidé en cela par le grand peuple ivoirien généreux et averti qui a toujours su, lorsque les enjeux se présentent, faire preuve d’unité et de mobilisation. En outre, le sens de son engagement et de son ambition pour la Côte d’ivoire s’est manifesté également à travers la coopération des partenaires techniques et financiers et de la communauté des bailleurs et qui consacrent le rayonnement international de la Côte d’Ivoire. En effet, à travers la crédibilité et la pertinence de son programme économique et social, le Président Alassane Dramane Ouattara a poussé le Gouvernement à accélérer les réformes de l’environnement des affaires, à promouvoir la participation du secteur privé ivoirien et international au financement de son programme économique et à amplifier la modernisation soutenue et globale de l’administration publique par l’intensification de la dématérialisation significative des procédures administratives en vue de l’exécution, dans l’efficacité, l’efficience et la transparence, des marchés publics et des projets. En se basant sur une analyse des meilleures pratiques tant au niveau national que mondial en termes de transformation structurelle de l’économie et de croissance, il n’a de cesse de lui signifier l’impératif de consolider les réformes fiscales dans les délais prescrits, pour renforcer la mobilisation de ressources intérieures afin de mieux valoriser le capital humain national et favoriser la création rapide d’emplois décents, notamment dans les secteurs moteurs de l’Agriculture, de l’Industrie, du Tourisme et du Numérique. Depuis 2012, les différents niveaux de croissance économique enregistrés par la Côte d’Ivoire, sous le leadership du Chef de l’État, Alassane Ouattara, profitent bien à l’ensemble des Ivoiriens. En effet, le pays maintient une dynamique de taux de croissance de 7,4 % pour 2018 et une prévision de 7,5 % pour 2019. Ainsi, les actions du gouvernement ont permis d’améliorer significativement le bien-être social des populations ivoiriennes et fait baisser le taux de pauvreté pour le situer en deçà de 46,3% en 2018. Sous ce rapport, la Côte d’Ivoire enregistre un taux de croissance soutenue de 8.6 % en moyenne depuis la sortie de crise (de 2011). Le pays maintient ce dynamisme avec un taux de 7.4 pour 2018 et une prévision, conforme à celles des partenaires techniques au développement (Banque Mondiale et Fonds Monétaire International) de 7.5 pour cette année 2019. Cette performance fait du pays l’une des économies les plus attractives du monde car la moyenne mondiale du taux de croissance trône à 3,6 points et à 6 points dans la sous-région. Egalement, en ce qui concerne la gestion de la dette publique, la Côte d’Ivoire est citée comme « un modèle » dans la sous-région. Il a affirmé que, le pays est « largement au-dessus de la norme ». Ces performances remarquables sont adossées à une inflation maitrisée (0,4 %) et un endettement largement en dessous de la norme communautaire de la CEDEAO fixée à 70 %. A cela s’ajoute l’objectif réaffirmé du Gouvernement d’intégrer le « Top 50 » des pays au classement « Doing Business ». Les réformes osées opérées dans l’ensemble des secteurs d’activités devraient permettre à la Côte d’Ivoire de maintenir sa position de locomotive économique sous régionale 40 % du PIB de l’Uemoa et d’assurer aux Ivoiriens les bénéfices de cette croissance inclusive