Le nouveau maire du 16 ème arrondissement de Paris, l’avocat Francis Szpiner est un ténor du Barreau
parisien doublé d’un homme politique expérimenté et d’un homme de culture.
Son succès à la mairie du 16 ème ar-
rondissement de Paris n’est pas une
surprise car il avait comme co-listier
feu Claude Goasguen, ancien édile de cette
municipalité qui avait réussi à le convaincre
à se présenter.
Ils ont mené une campagne de proximité, ne
ménageant ni leur peine ni leur temps.
Pour rencontrer les électeurs de toutes les
couches sociales de cette municipalité si par-
ticulière., Que le 16 ème soit un symbole des
Beaux quartiers est un fait mais la seule opu-
lence ne saurait définir cette municipalité qui
est aussi un « bastion » de l’art de vivre à la
française.
Au fil du temps la diversité y a fait sa place et
ses écoles d’excellence accueillent des po-
taches venus de tous les horizons. Evidem-
ment la tâche principale d’un maire est d’être
à l’écoute de ses mandants pour améliorer
leur cadre de vie répondre à leurs besoins
en équipements collectifs pour une vie sociale
épanouieentre autres.
Le 16 ème est certes riche mais n’a pas tout
et doit relever les défis d’adaptation au siècle
nouveau sur le plan technologique, dans le
respect des exigences écologiques.
Me Francis Szpiner a beaucoup voyagé et
beaucoup appris. Il a la tête pleine de projets
et saura s’entourer de collaborateurs com-
pétents, loyaux et déterminés.
Ses amis africains nombreux ont savouré sa
victoire et lui souhaitent le meilleur dans son
voyage politique en municipalité.
Entre Me Szpiner et l’Afrique, c’est une vieille
affaire d’amitié et d’engagement.
C’est ainsi qu ‘en 1988 l’avocat parisien a dé-
barqué à Dakar pour défendre l’opposant Ab-
doulaye Wade alors arrêté à la suite de ten-
sions post-électorales (un couvre-feu avait
été imposé après la présidentielle de 1988).
Sa mission sera couronnée de succès.
A chaque fois qu’il est sollicité, il n’hésitait
pas à se déplacer et à mouiller le maillot, de
Djibouti à Conakry, de Dakar à Malabo.
C’est donc un homme qui a déjà pratiqué la
coopération décentralisée, sur le plan per-
sonnel, si on peut dire, qui se trouve à la tête
d’une mairie, parmi les plus prestigieuses de
la capitale française, où il pourrait agir à une
plus grande échelle.