Les réalisations infrastructurelles du président Macky Sall sont, tout simplement grandioses. Du pont sur la Gambie, à Ila Touba,des chefs d’œuvres de Diamniadio (Dakar Arena, le Stade du Sénégal, les sphères ministérielles, la finition de l’aéroport Blaise Diagne, le prolongement de l’autoroute à péage jusqu’à Mbour et, bientôt Fatick et Kaolack, le TER, le BRT en cours, la VDN jusqu’à Cambérène et, au-delà, et, bientôt le démarrage des travaux de l’autoroute Dakar/Saint-Louis,les ponts qui désenclavent l’Ile à Morphil, la route du Dande Mayo, le pont de Rosso, en construction, les aéroports de Matam, Saintlouis (en rénovation), les hôpitaux de Touba, Kaffrine et Kédougou, etc. En 10 ans, Macky Sall a changé le visage du Sénégal, avec l’électrification généralisée, par le biais des centrales solaires, éoliennes et à fuel, en attendant la biomasse et,e ncore. Macky Sall mérite, assurément, le titre de «HEROS NATIONAL». Pour avoir pris le taureau par les cornes,pour concevoir et réaliser des projets infrastructurels pharaoniques pour son pays. Senghor a eu une telle ambition et a posé des actes et des jalons respectables avec les SICAP, HLM, notamment. Abdou Diouf a fait élaborer de nombreux plans d’aménagement, mais a pêché par lenteur, pendant 19 ans de pouvoir. Wade a osé avec l’autoroute à péage, l’aéroport Blaise Diagne, mais a perdu du temps avec la statue de la « Renaissance » qui a balafré Dakar, même si, aujourd’hui des touristes s’en régalent. Il a surtout perdu beaucoup d’argent (du contribuable) et d’énergie avec le FESMAN, la GOANA, les plans REVA et TAKAL, pendant 12 ans. Ayant appris des échecs de ses prédécesseurs, Macky Sall qui a l’avantage d’être un ingénieur, a su agir beaucoup plus efficacement et plus rapidement. Lui, peut visiter des chantiers et tenir un langage de connaisseur aux travailleurs et, à ceux qui sont les responsables des travaux. Cela explique aussi l’efficacité de sa méthode et ses réalisations XXL. Le STADE DU SENEGAL construit par les Turcs, en moins de 18 mois, est un exemple achevé d’un management d’une redoutable efficacité qui accouchent de réalisations spectaculaires saluées par le monde entier. Ceux qui s’étaient absentés du Sénégal, ces 10 dernières années, n’en reviennent de pas, en prenant l’autouroute à péage, prolongée, en passant devant Diamniadio, en habits de lumière, ILA TOUBA, somptueux, et, auparavant, ayant aperçu le TER serpentait le chemin d’acier qui trace ses rotations entre Dakar et Diamniadio. La VDN et tous les chantiers qui bouchonnent DAKAR sont une illustration de l’état de chantier, à ciel ouvert, dans lequel se trouve la capitale sénégalaise. En vérité, c’est tout le territoire national qui est en chantier, de Foundiougne à Marssassoume, où des ponts flambant neuf « ont mis à la retraite » des FERRYS rouillés par l’Histoire. L’évident est qu’il n’y a pas de mot pour décrire les TRAVAUX D’HERCULE réalisés par le quatrième président du Sénégal. Son « PLAN SENEGAL EMERGENT » se conjugue au présent et sème partout infrastructures ultra-modernes, moyens « dernier cri » de locomotion, enceintes sportives de dernière génération. Macky Sall veut le meilleur pour son pays et voit loin pour les nouvelles générations qui vont vivre dans un pays pétrolier et gazier qui aura les moyens de profiter pleinement de ces infrastructures futuristes E T QUI VA DONNER, 0 SES ENFANTS LES MEILLEURES CHANCES POUR BIEN SE FORMER ET SE conquérir LES MOYENS DE POUVOIR COMPETIR, dans un monde mondialisé de plus en plus dur. Macky Sall fait aussi du rattrapage en matière infrastructurelle, pour résorber un déficit accumulé par ses trois prédécesseurs. Le débat n’est pas de jouer le « blame game», comme on dit en anglais ; mais d’agir pour efficacement pour passer une étape incontournable. C’est ce que fait Macky Sall, avec rigueur et détermination. Choix pertinent !