PROCES ADJI SARR/OUSMANE SONKO : LE POLITICIEN SONKO PATHETIQUE !

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Hors sol, pathétique et  lamentable, Ousmane Sonko est bien un tigre en papier qui ne cesse de tympaniser les gens, micro en main, mais qui se comporte lâchement face aux forces de l’ordre.

Combien de fois a-t-il défié l’Etat, avant de se coucher ?

Tout le monde se rappelle quand il était bloqué dans sa maison et qu’il osa mettre le nez dehors…pour demander aux policiers de permettre à sa femme d’emmener leur enfant à l’école.

Quelle honte et quelle lâcheté pour quelqu’un qui demande aux enfants des autres de faire face aux forces de défense et de sécurité, à leurs risques et périls !

Combien de fois a-t-il annoncé des rassemblements  ,finalement interdits et il n’a pas bougé d’un iota ?

Depuis mars 2021,il prédit une « deuxième vague » qui n’a jamais eu lieu ?

Qui va encore prendre au sérieux ses « menaces » farfelues ?

Personne, sauf que « gouverner c’est prévoir » et qu’il faut  donc que les forces de défense et de sécurité se mobilisent et se préparent à toute éventualité parce que si le courage n’étouffe pas Sonko, certains jeunes qui le suivent aveuglément, peuvent tomber dans le piège de la surenchère et y perdre des plumes.

En mars 2021,14 personnes ont perdu la vie et c’est inacceptable et cela ne devrait plus se reproduire.

Les vociférations de Sonko témoignent de son état de panique ,face à deux procès qui vont mettre tellement de sable dans son « couscous politique », qu’il en deviendrait impropre à la consommation.

Pire ,cela signifierait une carrière avortée ,celle d’un homme en proie à des pulsions auto-destructrices.

Pourquoi diable, avoir décidé d’observer un silence assourdissant dans  le bureau du Doyen des juges ?

Pourquoi ne pas avoir répondu vertement à Adji Sarr, lors de leur unique confrontation, dans le bureau du Doyen des juges ?

Pourquoi refuser le test ADN, s’il n’ a rien à  se reprocher ?

Les limites d’un éventuel complot s’arrêtent là où des pulsions  déchaînées aboutissent à un coit et à un déferlement de liquide biologique miraculeux qui concourt à la formation du fœtus.

Quel comploteur plus fort que Satan himself, a pu subtiliser un tel liquide pour le placer là où il a été prélevé et a conduit une telle opération à l’ « insu du plein gré » de l’accusé ?

Ces questions seront incontournables le jour du procès et l’accusé le sait bien.

L’homme qui n’a pas la conscience tranquille ou les habits souillés et pas seulement de l’eau du jacuzzi,sait à quoi s’attendre et préfère donc, en appeler au « mortal Kombat ».

Le débat n’est pas ailleurs : Sonko refuse  de subir le test de vérité de l’ADN, comme il refuse les questions gênantes des journalistes à qui il impose des « déclarations et points de presse »,pas de conférence de presse.

Saul s’ils sont blancs, comme ceux de France 24 et RFI,qui ont eu l’outrecuidance de lui poser la question interdite : acceptez-vous de passer un test ADN ?

Il a répondu non !

Comment innocenter un tel homme accusé de viol ?

Qui refuse, par ses déclarations, à faire face à son accusatrice, dans un procès public, pourtant réclamé et attendu par tous les sénégalais désireux de connaître la vérité sur cette « affaire » qui défraie la chronique.

Mais qu’il le veuille ou non Sonko sera jugé et, si nécessaire, amené manu militari au tribunal, comme l’exige la loi : articles 238 et 239 du Code de procédure pénale.

Il est un justiciable comme les autres.

Aucune médiation n’est à l’ordre du jour et ne le sera pas.

L’honneur et la dignité d’Adji Sarr n’est pas un objet de marchandage.

Le respect de la justice sénégalaise et donc de ceux qui l’exercent au nom du peuple, ne l’est pas non plus.

Ce qui se joue dépasse Sonko et Adji Sarr, car il s’agit de la pérennité de l’Etat de Droit, de la démocratie sénégalaise,  de l’égalité des citoyens devant la loi.

C’est une honte d’entendre des « militants de la société civile » en appeler à des « arrangements pour éviter une guerre civile » ?

Ceux qui disent cela sont lamentables, tout comme ceux qui le pensent.

Sonko ne  « pèse pas plus lourd que Béthio Thioune, ou Karim Wade, ou Khalifa Sall »,politiquement parlant,tous trois qui ont été incarcérés ,après jugement.

On pourrait remonter aux trois prédécesseurs du Président Macky Sall  et citer les noms de Mamadou Dia, Moustapha Sy ,Barthélémy Dias etc.

Au Sénégal, nul n’est au-dessus de la loi : Dura lex sed lex !

Sonko doit arrêter ses gamineries en allant répondre devant la justice et avoir le courage d’assumer ses actes, tous ses actes.

Pour une fois ,il serait capable de vaincre sa peur panique  de l’enfer carcéral.

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