Le procès intenté par le ministre du Tourisme Mame Mbaye Niang, à l’opposant Ousmane Sonko a bel et bien eu lieu, ce jour et a abouti à la condamnation de Sonko à 2 mois de prison avec sursis et 200 millions de FCFA  de dommages et intérêts à payer à l’homme qu’il a diffamé.

Toutes les supercheries orchestrées par Sonko et ses avocats n’ont pas permis de bloquer l’appareil judiciaire qui a fonctionné et délivré un verdict  de la part d’un juge libre, indépendant et respectueux du Droit.

Les calomnies de Sonko sur la justice sénégalaise « qui serait instrumentalisée », ont volé en éclats et sa légèreté  ,dévoilée au grand jour.

Sonko n’a jamais eu   de « rapport épinglant Mame Mbaye Niang » et la condamnation qu’il subit  le couvre de honte et d’indignité.

La preuve est faite qu’il ne se gêne pas d’accuser, sans preuves et de tenter de déshonorer d’honnêtes citoyens.

Si la peine de prison de 2 mois avec sursis ne le prive pas de ses droits civiques ,la condamnation à payer 200 millions de FCFA à Mame Mbaye Niang va grignoter ses finances.

Et ce sera pas de gaîté de cœur qu’il va débourser cette somme.

Evidemment sa machine à désinformer va fonctionner à plein régime pour servir des fake news aux sénégalais.

Mais les faits sont indéniables :il a menti ,a diffamé et a été condamné.

Le rapport de l’IGF ou celui de l’IGE  n’ont jamais existé.

Maintenant, cap sur le procès « pour viol » qui est une autre paire de manches  et beaucoup plus crucial.

Ousmane Sonko est un danger pour la République car ses mensonges, ses vandales et son utilisation des réseaux sociaux sont un poison pour les populations.

L’Etat de Droit doit se protéger et agir en conséquence.

Ce premier procès est un signal très fort que tout le monde doit comprendre comme tel.

Le pouvoir judiciaire ne se laissera pas dicter sa conduite par des maitres chanteurs.