Même en prison ,Ousmane Sonko continue de jouer les malades imaginaires.
On se souvient qu’il avait « été aspergé d’un liquide empoisonné » et ses habits avaient été envoyés à l’étranger pour analyse ?
Depuis ,plus rien ! Le buzz n’opère plus et la mémoire courte de ses partisans a effacé le conte oublié.
Maintenant qu’approche le dénouement judiciaire de son « affaire avec Mame Mbaye Niang qu’il a diffamé, délit constaté et jugé par le tribunal, en première instance et en appel ,Sonko ressort un nouvel épisode du « malade imaginaire »,toujours « en réanimation ,à l’agonie, qui, demain, va retrouver ses tweets préférés.
De qui se moque -t-on ?
Le 26 octobre ,la Cour suprême va trancher sur le recours déposé par ses avocats ,dans un dernier effort désespéré ,pour sauver quelqu’un qui s’est suicidé politiquement ,par le mensonge, en affirmant détenir un « rapport » qui n’a jamais existé et qui s’est permis de trainer dans la boue un honnête citoyen et digne père de famille qu’il a accusé de détournement de deniers publics, sans aucune preuve.
Il y a aussi, le retour à la prison de Sébikotane que Sonko cherche à éviter-tout en demandant, selon un de ses avocats, à regagner sa cellule-Sonko se nourrit de contradictions et de contre-vérités-qui explique cette soudaine nouvelle maladie imaginaire qui exige « hospitalisation et séjour en réanimation ».
La dernière fois, il y était à l’article de la mort, avant qu’un marabout de ses alliés ,ne révèle la grossière farce,concoctée avec lui. Et, jusqu’ici, personne ne l’a démenti !
Le disque est vraiment rayé, le rembobinage grotesque et le manque de vergogne révoltant pour tous les citoyens sincères et, surtout ceux qui ont perdu des êtres chers en 2021 et 2023,lors des évènements sanglants déclenchés par le « gatsa-gatsa » ,entre autres appels à l’insurrection .
Le guerrier de pacotille est un tigre en papier qui ,à l’hôpital du pavillon spécial, coûte 150 000Fcfa,chaque jour ,au contribuable sénégalais .C’est un scandale !
Ce nouvel épisode est d’ores et déjà un flop retentissant ,car l’homme est totalement décrédibilisé, ses épouses ridiculisées ,par une demande de mendiantes ,télévisée, indigne, qui leur collera à la peau, pour toujours.
Le faux combat pour l’obtention de fiches de parrainage, c’est pour amuser la galerie et, demain, justifier le fait qu’il n’ait pas demandé à ses partisans de soutenir un autre candidat.
Sonko est un narcissique ; il ne soutiendra personne ,car il ne respecte personne.
Ses ex- compagnons de Taxawu, éjectés de la coalition Yaw (pour avoir rejoint le Dialogue national et permis ainsi le retour de leur leader Khalifa Sall,dans le jeu politique) le savent maintenant. Après le divorce avec Sonko ,ils regrettent d’avoir fait alliance avec lui.
Mais ils ont eu le courage-un peu tard- de se rebiffer !
Quant à la nouvelle prestation théâtrale de Sonko, il faut en sourire et fustiger la complaisance d’une certaine presse nationale et internationale qui font zoom sur le moindre cillement de sourcils de Sonko.
On dirait que son silence carcéral les gênait beaucoup et qu’ils avaient hâtent de retrouver le fauteur de troubles qui faisait leur beurre médiatique.
Il faut que l’Etat prenne ses responsabilités et mette en garde ces médias complices qui jettent de l’huile sur le feu.
Sonko est entre les mains de la justice et doit être conjugué au passé politique.
Ses derniers soubresauts pathétiques rendent le personnage plus détestable encore, car sa lâcheté est inqualifiable.
Où est celui qui affirmait qu’il allait « déloger Macky Sall du Palais » ?
Qui menaçait, à tout va, journalistes ,magistrats, militaires ,gendarmes et policiers, etc. ?
Cet homme doit rendre des comptes à la justice !
Aucune faiblesse ne doit être constatée de la part de tous ceux qui sont chargés ,par la loi, d’appliquer celle-ci.
Sonko a joué les Tartarin, a causé d’immenses dégâts sanglants et a perdu.
Il n’a pas le courage d’assumer ses actes.
La loi doit l’y obliger et le cinéma n’y peut rien.