Muhammad Shubar, porte-parole de l’Initiative des forces nationales libyennes, a déclaré que le conseiller Aguila Saleh, président de la Chambre des représentants, avait rencontré un certain nombre de cheiks tribaux à ce moment-là, une tentative d’entraver le projet international visant à assurer la sécurité et la stabilité et restauration de la souveraineté de l’État libyen, qui a été présenté par l’envoyé de l’ONU pour résoudre la crise, Abdullah Batili, devant la Chambre des représentants. sécurité récemment.
Shoubar a souligné, dans des déclarations exclusives à “l’agence de presse AAC”, que ces tentatives sont un échec et placeront les auteurs dans la catégorie des obstructeurs, avec lesquels la communauté internationale traitera conformément au texte de l’article 8 de la résolution n° 8 du Conseil de sécurité. 2656, qui stipule la mise en œuvre de la résolution n° 1970 du Conseil de sécurité de l’ONU, qui a été publiée. 2011, qui comprend l’émission de cartons rouges et le gel des comptes contre ceux qui entravent le processus politique Il a souligné qu’ils seront soumis à la responsabilité et à la responsabilité internationale, y compris comparaître devant la Cour pénale internationale pour entrave aux efforts des Nations Unies pour résoudre la crise, dit-il.
Shoubar a noté que la rencontre d’Aqeela Saleh avec des cheikhs tribaux aurait suivi le chemin du colonel Mouammar Kadhafi en 2011 et que ces méthodes n’auraient eu aucun impact sur la scène politique.
Il a souligné que les Libyens attendent le lancement de la mise en œuvre de l’initiative de l’envoyé de l’ONU, Abdullah Batili, dans les prochains jours, qui repose sur l’établissement d’un cadre général pour les élections, sur lequel travaille un comité technique qui sera formé de tous les segments de la société libyenne, en plus de mettre en place un mécanisme de gestion des ressources financières et de les répartir équitablement entre les Libyens et de former un leadership. Unifié avec de nouveaux visages pour mettre pleinement en œuvre l’accord de cessez-le-feu, préserver les revenus pétroliers, ouvrir la voie et superviser les élections que les Libyens attendent avec impatience depuis longtemps.
