La diplomatie ivoirienne sous le magistère du Président Alassane Dramane Ouattara est à la croisée des chemins. Son leadership et sa vision panafricaniste, cumulée à l’action de diplomates rompus à la tâche, ont fini d’asseoir une embellie et un rayonnement de la Côte d’Ivoire aux plans africain et international.
Dans le cadre du renforcement de l’axe Dakar-Abidjan, les Présidents ivoirien et sénégalais, chantres de l’intégration socioéconomique africaine et soucieux de la paix et de la sécurité mondiales, ont substitué les assauts armés et autres discours guerriers par les mots pour une coexistence pacifique entre les nations. Depuis l’avènement du Président Alassane Dramane Ouattara à la tête de la Côte d’Ivoire, le temps du travail et de l’action diplomatique conventionnelle a évolué pour se conformer aux objectifs de développement socio-économique qu’il s’est fixé. C’est tout le sens également des missions économiques mises en place au niveau des ambassades de la Côte d’Ivoire à l’étranger pour rendre le pays plus compétitif et attirer davantage les investisseurs pour un financement éthique du dé
veloppement de la Côte d’Ivoire. Cette grande Côte d’Ivoire citée en exemple est la résultante du leadership et de l’« autorité naturelle » du Président Ouattara ainsi que du dynamisme système démocratique et du renforcement de l’Etat de droit et des valeurs républicaines.
ENTRE DIPLOMATIE CONVENTIONNELLE ET INTÉGRATION ÉCONOMIQUE
En effet, avec les réformes institutionnelles consolidantes, la maturité collective du peuple, des acteurs politiques et économiques ainsi que des partenaires sociaux ivoiriens, la gouvernance démocratique des deniers publics, la gestion transparente concertée des ressources naturelles (café, cacao, anacarde, gaz, pétrole, mines…) et l’amélioration de l’environnement des affaires, il a fini de
bâtir un Etat politiquement mature et économiquement compétitive. La confiance de la communauté des bailleurs à la signature de la Côte d’Ivoire sous Alassane Ouattara attestée par les places gagnées dans les classements successifs au « Doing Business » et les agences de notation (Standard & Poors, Moody’s, Mo Ibrahim) en est une parfaite illustration. De même, pour être en phase avec l’Agenda 2063 de l’Union africaine, la Côte d’Ivoire, en tant que membre fondateur, a signé puis ratifié l’accord global historique sur la Zone de libre échange continentale africaine (Zleca) entrée en vigueur en mi-mai. Egalement, en fervent défenseur de l’intégration, la Côte d’Ivoire a d’abord priorisé la diplomatie de proximité avec ses voisins immédiats dont le Sénégal, en pôle position, pour l’étendre ses relations d’amitié et de coopération à l’Afrique et au reste du monde. Dans le cadre du renforcement de la coopération bilatérale et multilatérale avec le Sénégal et la Côte d’Ivoire sont très écouté dans le concert des nations pour le règlement de certains conflits, la construction d’une Afrique unie et d’une paix dans le monde. Autant d’actes posés et d’acquis qui renseignent du prestige de la diplomatie et du rayonnement international de la Côte d’Ivoire devenue ces dernières années un passage obligé pour les grands décideurs du monde pour connaitre des questions géopolitiques complexes.
Soucieux de la paix et de la sécurité mondiale, le Président Alassane Ouattara et son homo
logue Macky Sall ont substitué les assauts armées et autres discours guerriers par les mots pour une coexistence pacifique entre
les nations. En effet, les questions de paix et de sécurité en Afrique et des voies et moyens pour parer à la progression de la menace terroriste et du crime organisé, cause de déstabilisation de la région fondent leurs actions diplomatiques réciproques quotidiennes. Des actions qui s’inscrivent dans le cadre global des efforts que déploie l’Union africaine (Ua) dans la recherche de solutions africaines aux défis africains et dans un esprit de coopération avec des Institutions partenaires bilatéraux et multi latéraux des Nations Unies et de l’Union européenne (Ue) ainsi que des pays amis communs. Ainsi, conscients de ces défis, les deux Chefs d’Etats ne cessent de plaider pour « l’Afrique qui marche », cette Afrique qui a devant elle plus d’opportunités que de défis et dont les solutions sont plus nombreuses que les problèmes.
Ainsi, conscients de ces défis, les deux Chefs d’Etats ne cessent de plaider pour «l’Afrique qui marche», cette Afrique qui a devant elle plus d’opportunités que de défis et dont les solutions sont plus nombreuses que les problèmes.
